En circulant autour du kiosque pour la première fois, celui-ci m’apparut comme une sorte de kaleïdoscope, avec ses cinquante-six vitres, offrant chacune la même image d’un petit oranger placé au centre.
En longeant les vitres, je me plus à contempler les infimes variations offertes par la vue de chacunes d’entre elles.
« les yeux de l’oranger» résulte de cette expérience sensible, où j’ai imaginé les vitres comme autant d’yeux différents placés autour de l’oranger.
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En longeant les vitres, je me plus à contempler les infimes variations offertes par la vue de chacunes d’entre elles.
« les yeux de l’oranger» résulte de cette expérience sensible, où j’ai imaginé les vitres comme autant d’yeux différents placés autour de l’oranger.
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